

BABILLARD DES ARTISTES DU VILLAGE


Winston McQuade
Richard Vézina






Remarques sur Romance noire en deux mouvements, de Geneviève Manceaux (1998/2023)
Je dirais que SUBLIME est le qualificatif qui me vient spontanément à l’esprit, suite à la lecture de [cette] magistrale Romance noire en deux mouvements. C’est donc dire tout le bien que j’en pense. J’ajouterais qu’il y a presqu’un lien à faire ici avec le concept freudien de sublimation, i.e. la déviation d’une pulsion possiblement agressive, en l’occurrence l’horreur d’une situation incestueuse, dans une création littéraire de haut niveau. Et j’oserais même aller jusqu’à dire que la qualité littéraire de [l’] œuvre est directement proportionnelle au degré d’horreur et de frustration de la situation décrite. Très émouvant et prenant.
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Claude Germain
Professeur émérite à l’UQÀM et à l’Université Normale de Chine du Sud
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